Revêtements isolants aérogels pour murs extérieurs

Dans un contexte de neutralité du carbone, l'industrie de la construction doit encore améliorer le niveau des technologies d'économie d'énergie et de réduction du carbone. Dans les zones où la réfrigération est la principale demande (comme l'été chaud et l'hiver chaud), l'isolation thermique des murs extérieurs des bâtiments est un problème clé dans la conception des économies d'énergie des bâtiments. L'utilisation de revêtements isolants réfléchissants pour les murs extérieurs des bâtiments est une mesure passive efficace d'économie d'énergie. Les revêtements isolants réfléchissants pour la construction sont principalement divisés en deux types: l'un est le revêtement de barrière thermique, la conductivité thermique est faible, le revêtement de la paroi extérieure a une certaine épaisseur lorsqu'il est utilisé, en bloquant la conductivité thermique pour réduire la conductivité thermique de la paroi extérieure; L'autre est un revêtement réfléchissant à la chaleur qui a une haute réflectivité solaire et réduit le gain de chaleur de la paroi extérieure en réfléchissant le rayonnement solaire. À l'heure actuelle, la plupart de ces deux types de revêtements isolants réfléchissants sont utilisés séparément, la méthode d'isolation thermique est unique, la performance d'isolation thermique doit encore être améliorée. Isolation des murs extérieurs pour réduire la consommation d'énergie des bâtiments?

Compte tenu des exigences d'isolation thermique des murs extérieurs des bâtiments dans les zones chaudes d'été et d'hiver, une technologie de revêtement composite d'isolation thermique par aérogel a été rapportée en Chine. Le revêtement isolant thermique SiO2 Aerogel est utilisé comme barrière thermique et le TiO2 comme réflecteur thermique pour former une technologie de revêtement composite. Un nouveau type de revêtement composite d'isolation thermique a érogel a été étudié et comparé à deux matériaux muraux extérieurs couramment utilisés (revêtement réfléchissant, revêtement réfléchissant thermique seulement, pas d'isolation thermique), revêtement de ciment (pas d'isolation thermique, pas de revêtement réfléchissant thermique). Les propriétés des revêtements composites d'isolation des aérogels et de deux types de matériaux muraux extérieurs couramment utilisés (réflectance spectrale, réflectance solaire, conductivité thermique, différence de température d'isolation) ont été testées par des méthodes expérimentales. Enfin, selon la structure typique de la paroi extérieure du bâtiment dans les zones chaudes d'été et d'hiver, un modèle simplifié de réseau de chaleur pour l'isolation thermique, la résistance à la chaleur et la capacité de chaleur de la paroi extérieure est établi, et le changement dynamique de la température de la surface intérieure et extérieure de la paroi extérieure est calculé, et le transfert de la paroi extérieure à l'intérieur est effectué par la paroi extérieure. Les propriétés d'isolation dynamique des revêtements composites d'isolation thermique aérogel et de deux types de matériaux muraux extérieurs couramment utilisés ont été évaluées.

Les résultats montrent que les revêtements composites d'isolation par aérogel ont une réflectivité solaire plus élevée (0,89) et une conductivité thermique plus faible (0059 w·m). − 1. K − Il peut être utilisé pour réduire la température de la surface extérieure de l'isolation des murs extérieurs d'environ 7 °C. Par rapport au revêtement réfléchissant et au revêtement en ciment, l'utilisation d'un revêtement composite d'isolation thermique par aérogel peut réduire la perte de chaleur de la surface intérieure de la paroi extérieure de 14% et 38%, respectivement. Par conséquent, les revêtements composites d'isolation thermique des aérogels présentent de bonnes performances d'isolation thermique des murs extérieurs des bâtiments et présentent un potentiel considérable d'économie d'énergie et de réduction du carbone dans les zones climatiques chaudes en été et en hiver, où la demande de réfrigération est la principale demande et où l'applicabilité des zones climatiques doit être étudiée plus avant pour les zones climatiques fondées sur la demande de chauffage.